mercredi 29 juillet 2015

San francisco, l'hôtel

L'hôtel à lui seul mérite un article.

Situé dans un quartier relativement calme, il est de style Victorien.

Décoration chargée, vieux meubles, thé à 16 heures.





Le personnel est sympa, même quand Aurélien met le feu à un croissant, en le faisant passer dans une sorte de toaster rotatif...

on a eu peur mais bien rigolé quand même.

Pis il y a des hamburgers au p'tit déj !

Ah, la nourriture, c'est quelque chose ici.

Les hamburgers au pain sucré, où on peut choisir la cuisson.
Les hots dogs de New York, à tous les coins de rue chez les marchands ambulants.
Les sushis dont on abuse avec Aurélien.
Les thaïs, chinois, pour manger autre chose que du pain.
Les légumes, qui se résument souvent à brocoli-carottes.
Franchement, même si c'est pas de la grande gastronomie, c'est partout bon. Ou presque.

San francisco

Camping car rendu, direction San francisco.

Ville de bord de mer, venteuse, aux collines abruptes.

Jolies maisons, assez petites.


Des rues vraiment raides , où passe un tram bondé. 1 heure d'attente pour monter dedans ... du coup, on est monté à pied.




Petit passage par chinatown, moins étouffant que celui de New York et surtout aux maisons d'ici... contraste saisissant.


Arrivée enfin de l'autre côté, on a trouvé le tram qui longe le port, direction l'exploratorium, un endroit dédié à la science, la physique, mais de façon ludique comprenant de nombreuses expériences... le rêve pour petits et grands.





Location de vélo pour aller traverser le golden gate bridge, c'est beau mais c'est loin!






lundi 27 juillet 2015

Joshua national Park et californie

Après le lac, le désert, encore.

Des kilomètres de route, où il n'y a rien, à perte de vue.

Et puis tout d'un coup, une maison. Au milieu de rien. On se demande vraiment de quoi ils vivent. 
Comment ils font et combien de miles parcourus pour aller faire les courses, voir du monde. 
Idées de citadins, de gens qui n'ont pas plus de 300 km à faire pour arriver au bout du pays. Ici tout est immensément grand.
Les villes ne ressemblent en rien à ce que l'on imagine, pas de buildings, des petites maisons individuelles à perte de vue. Rien qui n'a plus d'un étage, sauf dans les très grandes villes comme las vegas. Étonnant. 

Joshua park, du désert mais surtout ces magnifiques arbres, il fait un peu moins chaud, c'est agréable. 




Depuis là, direction la californie. On est pas très loin et il y en a encore des miles à parcourir!

petit passage autour de Los Angeles et ses embouteillages, qui n'ont rien d'une légende même en pleine journée,  puis direction le bord de mer... l'océan pacifique, plus précisément. 
Plage et 1ère déconvenue. Les campings sont pleins, c'est le we et il fait beau.



Rencontre d'aurélien et de l'océan, c'est magique.

Bon, on se met en chasse d'un RV park.
après quelques heures de recherche, il faut bien se rendre à l'évidence. Pas de place, sauf un à 95 dollars la nuit. 

C'est dit, on dormira dans la rue. C'est un peu stressant ,mais on s'y fait.
de toute façon, ce sera pareil demain.

Route Los Angeles -san Francisco, magnifique, tortueuse. 



Un petit stop pour manger, pis non finalement c'est 20 dollars la salade, faut pas exagérer non plus!
C'est beau, d'accord, mais quand même!

Parce que les prix affichés, c'est une chose. Mais il y a les taxes en plus, 7%, et surtout le service, 18-22%. Ça devient tout de suite bien plus cher si on majore de 30%... 

Ah, oui, parce que manger est une préoccupation essentielle des 2 hommes! Enfin, surtout du grand, qui montre les dents quand il a faim... et il a souvent faim! 

Au bord de la route, il y a des vista points. Et un avec des éléphants de mer...





Ça fait des drôles de bruits et ça pue, mais ils sont trop drôles à regarder. 

Des vers géants, qui passent leur temps à dormir, à ramper maladroitement ou à se bagarrer dans l'eau.

L'océan,  de nouveau, cette fois il y a plus de vagues et il fait plus froid, mais aurélien n'en a cure.





Et puis Monterray et son aquarium. Bien américain, ludique, il y a tellement de choses à toucher et de gadgets électroniques que les enfantsen oublient de regarder les poissons...



Au total, 2600 miles parcourus en 16 jours, des images plein la tête, plein l'objectif. Et encore quelques jours à San Francisco avant de rentrer. 

jeudi 23 juillet 2015

Route 66 bis

Donc nous voilà sur la route 66, encore.

Arrivée à Oatman, en pleine montagne, un village... surprenant.

Peuplé d'ânes en liberté, à qui on peut donner de la nourriture achetée dans les nombreux shops du bord de route.

Et puis un petit spectacle au milieu de la rue, en plein midi. Bruyant, cowboyesque, plutôt rigolo.




Direction lake havasu, un lac artificiel en plein désert. Doublé du délire d'un type dans les années 60, qui y a construit une réplique de pont londonien, ainsi qu'une ville de type anglais. Tout ça avec  40-42 degrés et un soleil de plomb.



Du coup, on y a passé la nuit,  dans le camping le plus cher qu'on ait croisé, mais donnant directement sur la plage... que ça fait du bien!




Route 66

Ah, la mythique route 66, on l'attendait avec impatience et elle ne nous a pas déçus!







Il fait beau, très chaud, on se demande bien ce que les gens peuvent faire là, à quoi ils travaillent. Une maison de temps en temps, une bordée de boîtes au lettres au bord de la route, rien autour, à des kilomètres.
Des vieilles voitures en train de pourrir un peu partout, mais surtout, rien. Une route au milieu du désert.




On avait un stop prévu à kingman, un motel avec des chambres sur le thème des acteurs... Ça fait du bien d'avoir un vrai lit!
La miss de l'accueil est sympa, nous donne des infos sur la région, du coup on a change nos plans et annulé tous les campings restants, histoire d'éviter de se retrouver en pleine forêt une fois de plus.
Ben oui, les campgrounds, c'est souvent perdu. Faut choisir des RV parks. On saura pour la prochaine fois...

Grand canyon bis

Bon, en vrai on a pas eu que de la pluie.  Mais fallait bien vous faire mariner un peu...

Pis accessoirement, toujours pas de wifi. C'est rétabli maintenant qu'on est près de Los Angeles.





Que dire du grand canyon ? D'abord, comme son nom l'indique, c'est grand. Très grand.
4 heures de route pour passer du nord au sud. Bon, fallait faire le tour, en passant au bord de vermillon cliffs, qui sont magnifiques.



Et puis c'est surpeuplé. Chaque point de vue est pris d'assaut par des dizaines de personnes descendant des schuttles qui sillonnent les hauteurs du canyon.
Bien sûr, on aurait pu descendre, mais avec la pluie c'était pas très recommandé.