jeudi 23 juillet 2015

Route 66 bis

Donc nous voilà sur la route 66, encore.

Arrivée à Oatman, en pleine montagne, un village... surprenant.

Peuplé d'ânes en liberté, à qui on peut donner de la nourriture achetée dans les nombreux shops du bord de route.

Et puis un petit spectacle au milieu de la rue, en plein midi. Bruyant, cowboyesque, plutôt rigolo.




Direction lake havasu, un lac artificiel en plein désert. Doublé du délire d'un type dans les années 60, qui y a construit une réplique de pont londonien, ainsi qu'une ville de type anglais. Tout ça avec  40-42 degrés et un soleil de plomb.



Du coup, on y a passé la nuit,  dans le camping le plus cher qu'on ait croisé, mais donnant directement sur la plage... que ça fait du bien!




Route 66

Ah, la mythique route 66, on l'attendait avec impatience et elle ne nous a pas déçus!







Il fait beau, très chaud, on se demande bien ce que les gens peuvent faire là, à quoi ils travaillent. Une maison de temps en temps, une bordée de boîtes au lettres au bord de la route, rien autour, à des kilomètres.
Des vieilles voitures en train de pourrir un peu partout, mais surtout, rien. Une route au milieu du désert.




On avait un stop prévu à kingman, un motel avec des chambres sur le thème des acteurs... Ça fait du bien d'avoir un vrai lit!
La miss de l'accueil est sympa, nous donne des infos sur la région, du coup on a change nos plans et annulé tous les campings restants, histoire d'éviter de se retrouver en pleine forêt une fois de plus.
Ben oui, les campgrounds, c'est souvent perdu. Faut choisir des RV parks. On saura pour la prochaine fois...

Grand canyon bis

Bon, en vrai on a pas eu que de la pluie.  Mais fallait bien vous faire mariner un peu...

Pis accessoirement, toujours pas de wifi. C'est rétabli maintenant qu'on est près de Los Angeles.





Que dire du grand canyon ? D'abord, comme son nom l'indique, c'est grand. Très grand.
4 heures de route pour passer du nord au sud. Bon, fallait faire le tour, en passant au bord de vermillon cliffs, qui sont magnifiques.



Et puis c'est surpeuplé. Chaque point de vue est pris d'assaut par des dizaines de personnes descendant des schuttles qui sillonnent les hauteurs du canyon.
Bien sûr, on aurait pu descendre, mais avec la pluie c'était pas très recommandé.